La pensée ne doit jamais se soumettre, ni à un dogme, ni à un parti, ni à une passion, ni à un intérêt, ni à une idée préconçue, ni à quoi que ce soit, si ce n’est aux faits eux-mêmes ; parce que, pour elle se soumettre, ce serait cesser d’exister. 
Henri Poincaré 

Nous vivons une période chaotique au sens où un modèle de société se délite tandis qu’un autre émerge, avec difficulté, car l’ancien se défend. Et au milieu, comme le disait Gramsci, les montres apparaissent. « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres. » Antonio Gramsci

Le principe d’un paradigme[1] qui se délite se traduit par une perte et/ou désagrégation des repères du modèle dominant pour que de nouvelles références apparaissent, souvent hésitantes, balbutiantes, car l’émergence d’un nouveau paradigme se traduit par des expériences, des essais-erreurs et, bien entendu, aucune garantie des formes définitives que va prendre la maturité de cette nouvelle proposition de société[2].

Nous avons tous une appréhension de la dissolution de nos savoirs, habitudes, valeurs et croyances et un futur incertain tend à inquiéter, surtout que le nôtre est parsemé d’embûches importantes, climatiques, économiques, démographiques, sociales…

Alors, face à un moment erratique de l’Histoire, nombreux sont ceux qui cherchent à être rassurés, informés, à croire ce qui peut leur donner l’illusion de savoir et d’éviter l’angoisse de l’incertitude. Ce qui fait le lit du complotisme[3]. Car par souci de compréhension, mû par un moteur de curiosité, le complotisme apparaît comme une réponse possible et apaisante. Il réduit les chemins cognitifs d’interprétation des causalités pour réaliser un récit construit qui explique les désordres du monde ou les choses insupportables[4]. C’est alors le terreau pour les réductionnismes explicatifs et bien entendu pour l’apparition de gourous de toutes sortes apportant des solutions ou des corpus entiers expliquant les secrets du monde et comment retrouver le pouvoir d’agir.

Se pose alors la question de notre libre-arbitre versus les phénomènes d’emprise et de manipulation. Comment juguler nos peurs et manifester notre liberté de choix, de décision et d’action ?

Les réseaux sociaux amplifient les phénomènes de fake news et d’emprise psychologique

Ce phénomène, qui existe depuis toujours, est largement amplifié par les effets des réseaux sociaux et leurs algorithmes manipulant les informations afin de privilégier ce qui crée le plus d’audimat et clive les opinions écartant, de fait, le temps nécessaire pour chercher, croiser et valider des informations. 

Face à l’angoisse, nous avons besoin de savoir tout de suite pour nous sécuriser et ceci parfois au prix de notre libre-arbitre. Nous pouvons céder aux manipulations par méconnaissance, manque de culture générale, peu d’écoute de notre intuition qui nous alerte et par fainéantise face à faire l’effort de la recherche des données, de les recouper, de les analyser et de se forger son propre avis, au risque de la différence et d’être seul face à la position d’une majorité. 

Les manifestations de l’emprise

L’influence n’existe que parce ce que c’est une influence qui est prêtée, attribuée à autrui. 
Henri Pigeat

Ce qui va caractériser l’emprise d’un individu qui donne des clés pour expliquer les changements de notre monde ce sont plusieurs facteurs. Il y a d’abord la promesse de donner accès à des savoirs ou connaissances inaccessibles à tout un chacun. Cela éveille la curiosité, puis l’avidité, « je veux être le premier, le seul à détenir ces informations », cela permet de se distinguer des autres, d’avoir une valeur, parfois monnayable.

Cela donne aussi un socle pour se rassurer car il y a des explications sur ce monde turbulent. Et c’est alors la nature même des informations qui est en cause. La personne qui met les autres sous emprise va mêler de véritables savoirs et d’autres plus oiseux, parfois juste complètement erronés, sans le signaler. Et comme nous avons perdu l’habitude de chercher, de vérifier les informations – parce que cela nécessite du temps et de l’effort – nous faisons le choix, conscient nous non, du confort qui nous permet de saisir un message, partiellement vrai et d’en faire une connaissance. Ceci devrait à l’inverse alerter sur la véracité de l’ensemble, car si une partie des propos est fausse, sans aucune validité scientifique ou vérifiable, qu’en est-il du reste du message transmis ?

La manipulation passe également par le fait de dénoncer l’emprise, qu’exercent les autres et le faire soi-même

Comment sait-on que l’on est sous emprise dans cette situation ? La soumission au groupe nous renseigne. Personne n’ose poser de question, contredire le maître. Cette incapacité à questionner ouvertement, sans qu’un interdit n’ait été clairement énoncé, est un signe réel. Il existe dans le groupe une crainte implicite et inconsciente d’être rejeté. Et là survient une autre dimension de l’emprise qui repose sur le fait de penser que l’on fait partie d’un cercle privilégié d’élus auxquels on délivre les clés des mystères et que le risque encouru à ne pas être d’accord avec le maître est l’exclusion et, la conséquence, d’être privé de la source d’informations précieuses.

La norme du groupe est alors forte et le besoin d’appartenance et la crainte du rejet sont tels que nous commençons à céder sur notre capacité à questionner, contredire, confronter et progressivement, la dépendance et la soumission s’installent.

La dépendance s’instaure avec la promesse de futurs savoirs partagés et là s’instaure un processus sans fin dans lequel au prétexte d’un cheminement intérieur nécessaire à l’assimilation des connaissances, les informations sont distillées au compte-goutte, les stages s’accumulent, les Euros disparaissent et les années passent. La dépendance s’est installée avec l’addiction au maître, au désir de connaissances, au confort moelleux du groupe retrouvé à chaque rencontre. Et la liberté s’est envolée dans les limbes de l’illusion d’une libération annoncée.

La liberté et l’emprise

Dans Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens, les auteurs, Joule et Beauvois, décrivent la soumission volontaire qui laisse croire aux individus qu’ils exercent leur liberté tandis qu’ils sont devenus soumis et dépendants, sans en avoir conscience. « En somme, dans toutes les situations qui nous occupent, le sujet est amené́ à réaliser le comportement que l’on attend de lui dans un contexte qui garantit son sentiment de liberté́ et qui exclut même toute représentation de soumission. C’est la raison pour laquelle nous avons forgée l’expression de soumission librement consentie pour traduire cette forme de soumission particulièrement engageante, qu’elle nous conduise à agir à l’encontre de nos attitudes, de nos goûts, ou qu’elle nous conduise à réaliser des actes d’un tel coût que nous ne les aurions pas réalisées spontanément. Tout se passe dans cette situation (pour le moins singulière) comme si l’individu faisait librement ce qu’il n’aurait jamais fait sans qu’on l’y ait habilement conduit et qu’il n’aurait d’ailleurs peut-être pas fait sous une contrainte manifeste.[5]»

Une autre indication : le manque de sources

Ce qui permet également de douter des propos d’une personne lorsque nous ressentons intuitivement « que quelque chose ne va pas » ce sont l’absence de références bibliographiques

Notre culture rationnelle cartésienne ayant reléguée l’intuition à l’irrationalité[6], nous oublions qu’elle est un autre accès à l’information. Discernement et intuition sont les ressources des hémisphères gauche et droit du cerveau, des compétences différentes mais analogues car elles fournissent des informations complémentaires, l’une le fruit du raisonnement, l’autre celui du corps qui réagit à une stimulation. Ainsi, écoutons aussi bien notre esprit et notre corps lorsque nous recevons un message, est-ce que nous nous sentons bien ou est-ce que « quelque chose cloche » ? Et cette « information intuitive » est là pour nous alerter à explorer.

Lorsque nous avançons quelque chose, il doit être possible de le référencer afin que le lecteur ou l’auditeur puisse aller trouver les sources et se faire sa propre opinion. Sans cette base, c’est la proie à la manipulation. Et c’est le mélange d’informations véridiques et faciles à vérifiées et d’autres plus sulfureuses qui peuvent conduire à la manipulation.

Qu’est-ce que l’emprise ?

« L’emprise est une forme de domination exercée par une personne sur une autre qui a mainmise sur son esprit et/ou sa volonté. C’est une forme de domination morale et/ou intellectuelle, dans laquelle la victime ne se rend pas compte de ce qui se joue pour elle. L’emprise psychologique consiste à utiliser la manipulation mentale pour parvenir à ses fins. Elle n’est pas seulement réservée aux pervers.e.s narcissiques, mais peut concerner de nombreuses situations du quotidien, à n’importe quel moment de la vie. Identifier le plus tôt possible le processus d’emprise permet de s’en libérer et d’éviter de graves conséquences psychologiques[7]. »

En guise de conclusion : alors que faire ?

Tout esclave a en ses mains le pouvoir de briser ses chaînes. 
William Shakespeare.

Nous avons la possibilité à n’importe quel moment de faire un pas de côté et de nous sortir de l’emprise pour faire un tri sélectif des informations et distinguer le bon grain de l’ivraie.

Il s’agit d’une conclusion en mode d’ouverture.

Vous ferez bien ce que vous voulez.

J’ai, dans cet article, voulu nous rendre attentifs à certains mécanismes de manipulation et d’emprise qui peuvent avoir cours en cette période singulière de chaos que nous traversons. Et comme son acception l’indique, pour le sens populaire, le chaos est synonyme de tumultes, tandis que, pour la physique, il indique une nouvelle structure qui émane d’une période de transformation caractérisée par ses aspects aléatoires. « Le terme de chaos se rapporte à une classe de phénomènes bien définis où l’imprédictibilité est certes présente, mais où n’en existe pas moins un ordre sous-jacent.[8] »

Nous sommes donc invités à trouver l’ordre nouveau qui émerge d’une période confuse. 

A chacun son chemin et ses sources d’inspiration. Que nous tâtonnions, que nous parcourions plusieurs chemins, que nous soyons ou nous sentions en errance est somme toute normal, puisque ce futur n’est pas encore visible sous nos yeux.

Si nous avons cet appétit pour une transformation profonde, restons vigilants aux provenances des informations et à la congruence des passeurs et peut-être conservons les clés de notre liberté par l’exercice régulier de notre esprit critique que tout notre être nous invite à écouter. 

C’est par une attitude pleinement ancrée, puisant dans la diversité des racines philosophiques, celle des sciences comme celles des mystiques que nous pouvons, à l’orée d’un monde nouveau que nous co-créons, trouver les fils qui nous permettront un tissage solide, créant le panier robuste, une matrice renouvelée pour manifester des créations individuelles et collectives inédites.

***

Petit lexique 
Je reprends ici la dynamique qui nous avait animé avec Fabrice Davério, dans l’ouvrage sur la communication d’influence, à savoir de proposer plusieurs définitions afin de re-donner le goût de la recherche et d’aller, chacun, puiser dans ses propres références pour se faire une idée du propos que nous partageons.

Manipulation 
Pour la psychosociologie, la manipulation correspond au fait de susciter chez autrui une opinion ou un comportement que la personne n’aurait pas eu spontanément[9]

« La manipulation mentale n’est pas la désinformation, car son objet n’est pas d’instiller de fausses opinions, mais d’inspirer des schémas de pensée. Elle réussit à faire passer pour une décision volontaire un choix totalement induit.[10] »

« Manœuvre par laquelle on tente d’imposer une vision fausse de la réalité en recourant à la falsification, à la fraude. La manipulation des chiffres d’une comptabilité, d’un bilan. La manipulation des sondages à des fins électorales.[11] » 

Influence 
Pour Gustave-Nicolas Fischer (Universités de Metz, Montréal, Genève et Lisbonne), dans Les concepts fondamentaux de la psychologie sociale, « l’influence désigne de façon très large le fait que l’action d’une personne devient une prescription pour l’orientation de la conduite d’une autre personne ». 

L’influence est définie comme « un changement de comportement ou de croyance résultant de la pression réelle ou imaginée d’une majorité à l’endroit d’un individu ou d’une minorité d’individus[12] ». 

Pouvoir 
Le pouvoir social concerne l’utilisation délibérée de stratégies d’influence que John R. P. Jr French et Bertram H. Raven, dans The basis of social power, ont classé en six catégories principales : les récompenses, la coercition, les connaissances, l’information, le pouvoir de référence et l’autorité́ légitime. 

Intuition 
L’intuition, qu’on peut définir comme un « processus cognitif rapide grâce auquel nous parvenons à une conclusion sans avoir conscience de toutes les étapes logiques qui y mènent »26, est également au cœur des travaux d’un autre prix nobel d’économie, Daniel Kahneman. Cet auteur, spécialiste de psychologie cognitive, a été récompensé en 2002 pour ses travaux relatifs à la prise de décision, travaux qui méritent qu’on s’y attarde quelque peu. Dans un ouvrage stimulant et accessible, il décrit, à partir des deux principaux modes de pensée humaine (délibératif et intuitif) qui régissent notre façon de prendre des décisions, les nombreux biais cognitifs susceptibles d’affecter notre esprit27. Le « système 1 » est rapide, intuitif et émotionnel. Il fonctionne par défaut, sans effort, de façon automatique et quasi-inconsciente, est réticent à l’ambiguïté ou au doute qu’il tend à ignorer et aime voir partout des intentions et des liens de cause à effet afin de créer une vision du monde la plus cohérente et harmonieuse possible. Le « système 2 », au contraire, se consacre aux activités mentales qui requièrent un certain effort et incluent des opérations complexes. Il est généralement associé à l’expérience subjective du (libre) choix, de la conscience et de la concentration. Le système 1 génère des impressions, des sentiments et des penchants qui, s’ils sont adoptés par le système 2, peuvent se transformer en croyances, en attitudes ou en intentions28.

Le système 1 est capable de réaliser l’addition 2 + 2 mais, chez la plupart des individus, seul le système 2 peut résoudre la multiplication : 17 x 28. Le système 1 suffit lorsqu’on conduit sur une autoroute dégagée, le système 2 étant alors disponible pour une conversation philosophique avec le passager. En cas de manœuvre complexe, cependant, la discussion doit être interrompue car le système 2 doit intervenir. En d’autres termes, le système 1 est, de façon imagée, notre pilote automatique et le système 2, qui est plus lent, paresseux et fatigue vite, n’intervient qu’en cas de configuration inattendue ou complexe29. Petite anecdote mais qui, si l’on ose dire, ne manque pas de sel. Le système nerveux consomme plus de glucose que la plupart des autres parties de notre corps et un effort mental particulier a donc pour effet d’en faire diminuer le niveau dans notre sang. Kahneman rapporte une étude relative au travail de huit juges israëliens, s’occupant exclusivement de demandes de mise en liberté30. Chaque dossier est examiné, en moyenne, en six minutes et il n’est fait droit qu’à seulement 35 % des requêtes. Les auteurs de l’étude ont découvert qu’immédiatement après chacun des trois repas des juges (pause du matin, déjeuner et pause de l’après-midi) le pourcentage de demandes approuvées montait à 65 % pour descendre ensuite jusqu’à 0 % juste avant la pause suivante, deux heures plus tard. Selon Kahneman, ces résultats suggèrent que des juges fatigués et affamés ont tendance à choisir l’option par défaut : le refus d’octroyer la libération31. Tragique retour aux réalistes américains…[13] (…)

Pour Damasio, ses nombreuses recherches en la matière lui ont, au contraire, permis de conclure que, particulièrement dans les domaines où règne l’incertitude, « la capacité d’exprimer et de ressentir des émotions est indispensable à la mise en œuvre des comportements rationnels » et que son absence peut « handicaper la mise en œuvre de cette raison qui nous caractérise tout particulièrement en tant qu’êtres humains et nous permet de prendre des décisions en accord avec nos projets personnels, les conventions sociales et les principes moraux »57. (…)

Damasio insiste sur l’interaction très forte qui existe entre le cerveau et le corps : ils forment une « unité organique indissociable » dès lors que tant le système nerveux que la circulation sanguine permettent d’envoyer des messages dans les deux sens60. L’organisme est également en interaction étroite avec l’environnement, leurs relations étant médiées par les mouvements du corps et les appareils sensoriels. Les informations provenant de l’extérieur, qui nous arrivent sous forme d’images61, sont organisées en tant que concepts et classées dans des catégories sous la forme de « représentations potentielles », à l’état inactif, dans certaines régions cérébrales. Ces représentations potentielles « contiennent la totalité des informations dont nous avons été dotés à la naissance et des informations que nous avons acquises au cours de la vie » et leur activation par le cerveau permet tant la régulation biologique que la formulation de stratégies de raisonnement et de prise de décision62.


[1] Un paradigme est une représentation du monde, une manière de voir les choses, un modèle cohérent de vision du monde qui repose sur une base définie (matrice disciplinaire, modèle théorique ou courant de pensée). « Le terme de paradigme, utilisé par Thomas Samuel Kuhn, en 1962, dans La structure des révolutions scientifiques, désigne de principes et méthodes partagés par une communauté scientifique. C’est un modèle épistémique qui fait autorité et regroupe les chercheurs pour un temps. Puis, il sera remplacé par un autre, après une révolution scientifique. Une telle révolution change profondément les manières de voir le monde. »

[2] Entrer dans un monde de coopération, une néo-RenaiSens, Marsan, Christine, Chroniques Sociales, 2013 ; Délicate Transition, Acatl, 2017 : https://www.acatl.fr/tag/christine-marsan/

[3] https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/avec-philosophie/quelles-sont-les-racines-du-complotisme-6357572 – Définition wikipédia : Une théorie du complot (ou complotisme, conspirationnisme, ou conjurationnisme) est un type de discours qui décrit un événement comme résultant pour l’essentiel de l’action planifiée et dissimulée d’un petit groupe, différent des acteurs apparents. Cette approche rejette l’investigation historique (multicausale et ouverte aux hypothèses mais retenant les plus plausibles) au profit d’une explication univoque et monocausale qui voit partout les signes de l’intervention et de la puissance de ce groupe occulte. Peu importent l’absence de preuves et la minceur des indices : ce serait justement la preuve de la puissance dissimulatrice des comploteurs. Peu importe également la notion de réfutabilitéhttps://fr.wikipedia.org/wiki/Théorie_du_complot

[4] https://www.publicsenat.fr/actualites/non-classe/gerald-bronner-la-theorie-du-complot-va-dans-le-sens-des-intuitions-du-cerveau-182648

[5] Extrait de Petit traité de manipulation à l’usage des honnêtes gens, Joule, Robert-Vincent, Beauvois, Jean-Léon, Presses Universitaires de Grenoble, 2004 (1987).

[6] Voir dans la partie « Petit lexique, en fin d’article, quelques réflexions sur les processus de décision, la rationalité et l’intuition. » Nous avons choisi quelques extraits.

[7] https://www.psyliege.be/la-relation-demprise/

[8] https://www.universalis.fr/encyclopedie/chaos-physique/#:~:text=Dans%20le%20domaine%20des%20sciences,«%20aléatoire%20»%20sont%20restés%20synonymes.

[9] Marsan, Christine, Daverio, Fabrice, La communication d’influence, Comment décoder les manipulations et délivrer un message éthique, Editions CFPJ, 2009.

[10]https://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/manipulation_mentale/64751#:~:text=Action%20exercée%20sur%20la%20conscience,inspirer%20des%20schémas%20de%20pensée.

[11] https://www.dictionnaire-academie.fr/article/A9M0541

[12]https://fr.wikipedia.org/wiki/Influence_sociale#:~:text=Il%20est%20défini%20plus%20précisément,une%20minorité%20d%27individus%20».

[13] https://books.openedition.org/pusl/23709?lang=fr#:~:text=31Damasio%20suggère%20que%20le,le%20soumettre%20au%20raisonnement%20»72.

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