La réussite d’une souveraineté « circulaire » passera par la professionnalisation des écosystèmes, mais également en rationalisant et en remettant de l’entrepreneuriat au cœur des écosystèmes. Tout en arrêtant les luttes territoriales et capitalistiques inutiles, Les systèmes en place doivent produire des Start-ups industrielles qui deviennent des entreprises et des entrepreneurs qui deviennent des chefs d’entreprises et non pas des Startupers qui deviennent des chômeurs !
Sur le terrain ; Les collectivités, la politique, les investisseurs, les structures de conseil et d’accompagnement, les organismes de formation… ne partagent pas suffisamment d’ambitions, de visions, d’intérêts, et de valeurs communes à court, moyen et long terme. Ils sont tous invités à travailler ensemble sans avoir étaient accompagnés pour le faire et sans savoir s’ils peuvent le faire.
Invitation personnelle pour un Réveillon de conscience !
Monsieur le Président de la République, osez ouvrir votre propre VOIE et embarquer l’Europe en faveur d’une souveraineté circulaire et résiliente. Relevez, avec les acteurs de terrain, le défi de l’innovation : du prototype aux produits industriels, des partenariats nécessaires entre start-ups, les petites et moyennes entreprises (PME), les industriels, sans oublier la redirection écologique, l’alignement de la comptabilité et des subventions publiques avec les nouveaux enjeux planétaires pour moins de gaspillage. Construisez un véritable écosystème d’excellence européenne favorable au développement des Start-ups Industrielles en fédérant des donneurs d’ordre, Entreprises de taille intermédiaire (ETI), PME innovantes, pouvoirs publics, Vcs (Venture Capital), Lps (Limited Partners), Grands Groupes… pour qu’elles accèdent rapidement au marché européen. Mettons en place, ensemble, des leviers pour lever les freins dans l’amorçage industriel. Prenons, ensemble, d’autres raccourcis, « Vous valez ce que vaut votre cœur » – Jean-Paul II.
Richesse oubliée… De l’importance d’apprendre à lire l’hébreu pour un accompagnement stratégique
« Dieu prit l’homme et le plaça dans le jardin d’Éden pour le cultiver et pour le garder »
(Genèse 2,15).
« Il y eut un soir, il y eut un matin… ».
Nous avons tous besoin de nous rattacher à des idéaux, à des récits porteurs de sens capables d’esquisser une carte mentale collective qui mobilise nos énergies, des mythes et des récits fondateurs qui animent notre imaginaire. Prenons l’exemple de la création de l’univers en six jours exposée dans le premier chapitre du livre de la Genèse de l’Ancien Testament, qui a nourri notre civilisation, par « et dieu vit que cela était bon ». Comme l’annonce le journaliste Éric de Kermel dans son ouvrage « Abécédaire de l’écologie joyeuse », croyant ou non croyant, nous sommes tous invités aujourd’hui à revisiter cette notion de « bon » dans notre façon de nous comporter face au monde, avec une dette de responsabilité écologique qui s’impose à nous. Il serait également intéressant d’inverser les termes de bien commun et de les entendre ainsi : agissons-nous en commun pour le bien, ou non ? Pouvons-nous tenir notre rôle de gardien de l’Éden ? Ou encore comment réconcilier l’industrie et la finance au service de l’impact ?
Une nouvelle ère de leadership : la Grande Métamorphose Circulaire.
La résilience, mot que l’on entend beaucoup, c’est vrai. Mais qui est, qu’on le veuille ou non, devenu un impératif. Désormais, une entreprise sera résiliente ou ne sera pas. Ce concept de résilience est venu remplacer un autre concept auparavant très en vogue dans les entreprises et l’industrie : l’agilité.
La portée des actions est mondiale et l’industrialisation est incontournable pour débloquer l’ascenseur bloqué depuis les 30 glorieuses. II faut donc voir grand et bas-carbone (production locale, solutions vertueuses, reconversion, approches raisonnées…).
De nombreux efforts restent encore à faire pour aboutir à une grande métamorphose circulaire et prototyper des villes post-industrielles résilientes vers de nouveaux communs :
> Des guérillas vertes, une agriculture durable, des permablitz ou création de jardin express…
> Des nouveaux modes de vie : l’économie du don, éradiquer la faim, nourrir le monde, habiter ensemble, autrement, réparer, recycler, Upcycler, la société collaborative, partager, troquer, louer, vivre mieux avec moins, partager les savoirs,
> Une société civile experte : sciences collaboratives, intelligence collective, communauté, de l’open source, du partage de travail…
> Des autonomies locales : des solutions autonomes et décentralisées, la coopération d’énergie, anticiper l’après-pétrole avec des villes en transitions, l’économie circulaire… Une réappropriation du monde.
Mais aussi, mettre la tech au service du vivant et pas l’inverse, montrer l’exemple dans un écosystème encore trop adepte de « l’impact-washing », repenser le « business model » des entreprises pour le corréler avec les impacts sociétaux qu’elles provoquent et surtout changer notre façon de mesurer les actions et les résultats des entreprises.
Sans oublier que pour réussir une souveraineté industrielle et « circulaire » nous avons besoin de moyens financiers adaptés… Où sont passés les investisseurs matures, ceux qui ont intégré la notion d’urgence dans leurs statuts, KPI (Key Performance Indicator), trajectoires… Afin de pouvoir financer ces projets industriels et circulaires à grande échelle ?
Le monde d’après, d’après vous ? Peut-être sera-t-il à la décroissance, peut-être sera-t-il à l’hyper-croissance, peut -être sera-t-il à la croisée des chemins entre croissance et sens, peut-être sera-t-il dans l’intégration de nouveaux indicateurs comme le BNB (Bonheur national brut), l’un des piliers de la politique du petit royaume d’Asie… Quel sens donner à toutes ces incertitudes qui nous frappent en masse ? Laurence Boone, chef économiste à l’OCDE, disait qu’il faut remettre de la confiance, donner plus de certitude, et davantage direction.
Une direction oui ! Mais plus encore, un cap, un renouveau, une nouvelle ère, celle de la Grande Métamorphose Industrielle Circulaire, avec un coordinateur de poids, le Collectif Start-ups Industrielles France (CSI France). Il contribue à ouvrir nos horizons, à la construction d’un nouveau monde industriel, pour transformer nos organisations et nos territoires. En proposant à plusieurs partenaires partageant une même quête ; de mutualiser réflexions, expérimentations et constructions de communs dans un seul but, trouver le chemin de la sobriété. Dans la même dynamique que The Shift Project ou Time For The Planet, le collectif soutient l’amorçage industriel innovant pour montrer que l’industrie peut être circulaire, c’est-à-dire prendre en compte son impact environnemental et social tout au long du cycle de vie du projet. Car entre croissance à tout prix et « impact-washing », la Start-up Nation ne fait pour l’instant pas rimer rentabilité avec responsabilité.
Qu’y aura-t-il après ? Tout cela reste à penser, à imaginer, et à vivre… L’objectif pour demain, c’est de mettre au centre le besoin que l’on cherche à résoudre afin de former un écosystème de la société et non pas un écosystème de Start-ups en réalignant notre économie de marché.
Apprendre à danser sous la pluie industrielle ou prendre les choses avec philosophie.
De l’importance d’une industrie solide pour l’indépendance du pays et la cohésion territoriale. Comment se forger dans un nouveau compromis historique ? À dire vrai, il serait bon que tous nos Présidents lavent les pieds de tous les Français, tout comme le propose le rituel des Jeudis Saints, lors de la Veillée Pascale qui inaugure la célèbre Fête de Pâques, depuis le temps des églises. Symbole d’humilité, geste chargé de sens, ce lavement permettrait à nos dirigeants d’avoir les pieds sur terre, d’être bien ancrés pour comprendre les entreprises « vu du sol ». Cette coutume approuverait les VRAIS besoins des Français (es) avant tout lancement (les effets d’annonce, la libération des budgets, la projection d’une politique d’investissement ou des plans de relance…). Nos Présidents verraient certainement à quel point le capital humain est un véritable trésor et le seul levier qui vaille pour transformer de manière pérenne les organisations, l’industrie en faveur d’une souveraineté « circulaire ». Nous pourrions les inviter à plonger dans une relecture des fables de La Fontaine (version management), et poser la question suivante : « Dans votre management personnel et professionnel, êtes-vous plutôt Lièvre ou Tortue ? Cigale ou Fourmi ? Chien ou Loup ? Corbeau ou Renard ? Rat ou Éléphant ? » Se manager en se ménageant dans le but de se creuser ensemble les méninges tout en faisant le ménage dans certaines de nos pensées et actions, voici l’ambition managériale de la nouvelle industrie circulaire !
Sortir d’urgence de nos « techno-cocons ». Le 12 octobre 2021, Emmanuel Macron annonce les 30 milliards d’euros pour une reconquête industrielle et une dynamique de relocalisation des activités. Quatre dossiers sont sous les feux des projecteurs : la valeur ajoutée créée par les activités industrielles dans les territoires ; la création d’emplois ; la souveraineté industrielle ; et la question environnementale. Mais nous ne relocalisons pas pour relocaliser ! Il faut le faire en créant des écosystèmes, des poches de résilience, « une pluralité d’îlots », « d’archipels » pour reprendre les termes d’Alain Damasio Ce dernier nous invite à sortir d’urgence de nos « techno-cocons ». Ou encore, comme l’exprime Anaïs Voy Gillis, C’est toute une chaine de valeur en amont et en aval qu’il faut construire et ne plus penser en silos pour ne pas être confronté à des problèmes de souveraineté. Pourquoi industrialise-t-on ? Et au service de quel projet de société ?
Désormais, l’État doit se projeter à long terme, ne plus faire d’effet d’annonce, et expérimenter une nouvelle façon de penser et de faire en s’appuyant également sur les travaux modernes et avant-gardistes du Collectif Start-ups Industrielles France (CSI France), qui reflètent la réalité terrain. C’est tout dire, dans sa dernière tribune, le collectif communique sur le fait qu’au-delà des efforts du plan France 2030, il faut résoudre la question de la pré-industrialisation par la création de fonds patients dédiés à cette phase longue et coûteuse. En effet, Le Plan France 2030, prévoit de consacrer 2,3 milliards d’euros à l’amorçage industriel selon les annonces du 19 janvier 2022. Belle avancée en faveur des Start-ups industrielles ! Mais il reste à ce jour une carence en fonds propres pour accompagner la pré-industrialisation et des efforts supplémentaires nécessitent d’être déployés.
Mieux penser l’industrie ! En France, nous avons confondu management et pochette surprise – Le problème de la transition écologique n’est plus tant de savoir ce que nous devons faire ou si nous savons le faire, mais plutôt comment le faire plus vite et à plus grande échelle. Nous savons isoler les logements, mais il reste des millions de passoires thermiques. Nous savons fabriquer des véhicules électriques, mais les bornes de recharge font encore souvent défaut. Nous savons qu’il faut stopper l’artificialisation des sols, mais nos villes continuent de s’étendre… Pourquoi ? Certes, des lobbies résistent, des catégories sociales se crispent et la volonté politique n’est pas toujours au rendez-vous. Mais nous avons surtout un problème de gouvernance, de la transition, de management : nous ne savons pas organiser convenablement la pluralité des acteurs qui doivent y concourir (entreprises, industries, Start-ups Industrielles, territoires, citoyens…). Nous ne pouvons pas gagner une bataille si nous ne sommes pas organisés pour la gagner. Or, nous sommes aujourd’hui très mal équipés pour produire à grande échelle les changements dont nous avons besoin pour réussir la transition écologique.
L’objectif pour ce nouveau projet sera également d’intégrer la notion d’impact durable dans les modèles d’affaires. Ce pivot des entreprises vers un alignement de leur raison d’être à fort impact, et de leur « business model » est une urgence pour concilier un modèle de développement avec les impératifs de notre société et de notre environnement.
« Dans la vie, rien n’est à craindre, tout est à comprendre. » – Marie Curie. À la « Robin des bois », pour mieux diffuser les principes de base des Start-ups industrielles au sein des différents écosystèmes professionnels existants (Pôle emploi, Incubateurs, Accélérateurs, CCI, Métropoles, Régions, Écoles et Universités, etc.), et pour être accessible au plus grand nombre, Le Collectif Start-ups Industrielles France (CSI France) qui ouvre les futurs pour libérer le présent, propose une série de solutions pour impulser les championnats des start-ups industrielles, ou comment ouvrir la VOIE. D’intérêt général, c’est l’un des réseaux les plus féconds permettant d’éclairer les prises de décision des territoires. Plusieurs sujets inspirants, controverses d’utilité publique, sont analysés et mis en avant. Sujets pour conduire à partager idées, énergies et moyens d’agir. Expérience pédagogique pour explorer les futurs possibles, il part d’une problématique rencontrée sur le terrain par les Start-ups industrielles et dresse des solutions, montre des issues. Par exemple : La création des lieux adaptés à la pré-industrialisation des projets comme présentés ici : Note Repères de l’industrie. Ces lieux auraient pour mission de répondre aux besoins d’hébergement des porteurs de projet, mais aussi d’être un lien avec le grand public et notamment accueillir des classes de collège et lycée afin de démocratiser l’industrie d’aujourd’hui. Nous devons être capables de lancer des projets qui afficheront des modèles vertueux dans le domaine de la consommation responsable, des villes plus durables ou de la lutte, contre le changement climatique, tout en démontrant qu’ils sont de sérieux pourvoyeurs d’emplois locaux et durables.
Sortir du moule ! Un nouveau pacte entre générations dans l’entreprise.
En réalité, c’est une fusée à trois étages autour de la recherche-action.
Premier étage : réparer. C’est-à-dire soigner les ailes cassées : une responsabilité éthique de l’industrie, mais aussi économique.
Second étage : la préparation ou comment mettre le pied à l’étrier, de l’impact, de la sobriété.
Enfin, La « Rising Army », c’est le collectif, la société civile, que l’on retrouve dans le troisième étage : la transformation, habitée par le sujet de l’utilité.
C’est donc un nouveau « deal industriel » dont nous avons besoin, une révolution de la valeur portée par ce collectif ! Des entreprises qui développeront de l’impact économique, environnemental et social dans les territoires. Des entreprises qui favorisent les externalités positives et négatives tout en préservant leur rentabilité.
La question suivante se pose : la comptabilité, peut-elle évaluer ces évolutions ? Car au-delà du financement, la responsabilité des entreprises demande une nouvelle façon de comptabiliser les actions de ces entreprises. C’est ainsi que de nouvelles méthodes de comptabilité commence à se développer. Elles s’appuient sur la monétarisation des externalités qui améliore la lisibilité de toutes les données, extra -financière. Réussir une souveraineté circulaire résiliente, c’est aussi revoir notre façon de dresser un bilan comptable, notre façon de dresser un business plan, un modèle économique… C’est tout un système économique qu’il faut repenser, en prenant d’autres VOIES, pour accéder au marché différemment. Il existe toujours une autre manière de faire… Et la transformation du système économique passe aussi par une transformation des normes comptables.
Un regard décalé et résilient – Vers une comptabilité responsable.
Dans le modèle économique développé depuis la seconde guerre mondiale, la comptabilité remplit parfaitement son double objectif : informer les parties prenantes sur la santé financière d’une entreprise et calculer son imposition. Elle ne prend en compte qu’une dimension financière, elle ne permet pas d’évaluer la santé physique et morale des salariés, la santé de son environnement naturel. Une entreprise qui dégage un profit important en détruisant la planète pour la relation sociale ne peut plus être considéré comme une réussite. Enrichir la comptabilité d’éléments environnementaux et sociaux permet de donner une estimation des externalités positives et négatives engendrées par l’activité des entreprises ; ces nouvelles interrogations sont accélérées depuis l’entrée en vigueur de la loi PACTE qui accorde aux experts-comptables des « travaux d’ordre environnementaux ». Elles sont mises en avant par Claire Agnès Gueutin et Benjamin Zimmer dans l’ouvrage « Une entreprise responsable et rentable, c’est possible ». Il existe ainsi plusieurs méthodes qui prennent en compte les éléments environnementaux et sociaux comme la Comptabilité Universelle du Cabinet Saint-Front et le modèle CARE expliqué par Hervé Gbego.
Nous sommes à l’aube d’un macro-défi, qui est une affaire de patrons (es), pas de politiques !
Parlons peu, parlons lien ! Une révolution de la valeur pour un langage commun… Le greenwashing paralyse tout le monde et il encourage à l’inaction. C’est d’autant plus grave que ça freine cette transition dont l’économie à absolument besoin. Nous devons reconnecter l’industrie avec les besoins économiques, écologiques et sociaux de notre époque. Quand on évoque un horizon business à 30 ans, on se pose inévitablement la question de la valeur et du langage commun. L’Industrie ou le territoire qui ne se la posera pas ne survivra pas ! Et cette question est centrale pour le Collectif Start-ups Industrielles France (CSI France). Afin de redonner leur place aux projets industriels dans l’écosystème startup national, le collectif a défini un glossaire pour partager un vocabulaire commun. Créer un langage commun pour ne plus avoir des initiatives écologiques de façades engagées par les territoires, les entreprises. Et à terme, aider certaines problématiques sociales, comme le changement climatique, car la difficulté aujourd’hui, c’est que nous n’avons pas de langage commun pour définir le paramètre climat.
Nous n’avons pas le droit de sacrifier une jeunesse, d’autant plus dans le contexte actuel, nous devons militer pour cette génération résiliente qui a la rage au ventre et qui a confiance en elle et en l’entreprise pour transformer l’essai. Ce militantisme à travers un langage commun en faveur d’une souveraineté circulaire et résiliente pourrait se faire aussi à travers un nouveau corps de métier : les « Chief Philosophy Officer (CPO) ».
Je fais le ménage dans les méninges ! Bienvenue au « Chief Philosophy Officer (CPO) ». Ce profil est déjà employé aux États-Unis par Google, Skype, Apple et Forbes. En effet, La pensée philosophique favorise la réflexion critique et renforcerait le potentiel d’investigation personnelle, de logique et de raisonnement des futurs chefs d’entreprise… Invoquer Descartes, Spinoza, Kant ou Beauvoir, autour de la table d’un comité de direction, Former les futurs entrepreneurs à la philosophie, inviter au questionnement… Un corps de métiers qui devrait être intégré dans le monde industriel français (PME, ETI, Start-up Industrielles), le tout avec une vision circulaire et fraternelle. Un nouveau chantier se profile à l’horizon, de nouveaux outils sont à créer pour accompagner et former les écosystèmes des Start-ups industrielles et celle du « Next 40 », label créé en 2019 pour soutenir des entreprises prometteuses (leaders des technologies), à trouver des solutions à la dégradation planétaire, « rien ne se perd, rien ne se créer tout se transforme », Antoine Lavoisier.
Un grand Merci à tous ces partons(es), Startupper (es), salarié(es), chercheurs (es)… Qui se battent chaque jour pour un réveillon de conscience, une industrie souveraine et « circulaire », une production Made in France, locale, en faveur des circuits-courts. Bravo à toutes celles et ceux qui ont osé une relocalisation emblématique comme les « Skis Rossignol » et les « Thés Kusmi Tea ». Merci pour votre résilience, facteur d’espoir et de renaissance industrielle.
(Photo : Le pissenlit peut s’épanouir dans des conditions difficiles, c’est pourquoi on dit qu’il représente la capacité à s’élever au-dessus des défis de la vie. On dit aussi qu’il nous rappelle de faire preuve d’intelligence en toutes situations. En route vers la traversée de la grande métamorphose !)